😭« Ma tristesse, c’est d’être devenu le numéro 1, et qu’il n’ait pas eu l’occasion de le voir»: Crsitiano Ronaldo se confie sur son plus grand regret.
😭« Ma tristesse, c’est d’être devenu le numéro 1, et qu’il n’ait pas eu l’occasion de le voir»: Crsitiano Ronaldo se confie sur son plus grand regret.
Derrière l’armure de l’athlète parfait, des records mondiaux et du premier milliardaire de l’histoire du football, se cache une faille que ni l’or ni la gloire n’ont pu combler. Pour Cristiano Ronaldo, le sommet de la pyramide a toujours un goût d’inachevé. La raison ? L’absence de son père, José Dinis Aveiro, décédé en 2005 à l’âge de 52 ans des suites d’une tumeur au foie liée à l’alcoolisme.
Cristiano Ronaldo a craqué lors d’une interview réalisée par la télévision britannique, dans l’émission « Good Morning Britain » sur ITV.La star portugaise a fondu en larmes au moment d’évoquer son père, décédé en 2005 d’une tumeur au foie. Questionné sur son plus grand regret, CR7 a confié: « Être numéro un et il ne voit rien. Il ne me voit pas recevoir de récompenses. Ma famille le voit, ma mère, mes frères et même mon fils aîné. Mais mon père, il n’a rien vu. »
Un rendez-vous manqué avec l’histoire
Lorsque José Dinis Aveiro s’éteint dans un hôpital de Londres, Cristiano n’a que 20 ans. Il est alors un jeune espoir prometteur à Manchester United, loin de s’imaginer qu’il allait redéfinir les lois de son sport.
Le drame de Ronaldo réside dans cette chronologie cruelle : son père est parti juste avant que son fils ne devienne un phénomène planétaire. Il n’a vu ni les cinq Ballons d’Or, ni les cinq Ligues des Champions, ni le sacre de l’Euro 2016 avec le Portugal. Pour Cristiano, chaque triomphe est teinté de cette pensée : l’homme qui lui a donné son premier ballon n’est plus là pour témoigner de l’ampleur du prodige.
La lutte contre les démons familiaux

La relation entre Cristiano et son père était complexe. José Dinis, marqué par les traumatismes de la guerre coloniale en Afrique, avait trouvé refuge dans l’alcool. Ronaldo a souvent admis qu’il n’avait jamais eu de « conversation normale » avec lui.
Pourtant, c’est cette tragédie qui a forgé le mental d’acier du joueur. La mort de son père a été l’élément déclencheur d’une discipline de fer : Ronaldo ne boit pas d’alcool et mène une vie d’une ascèse absolue, comme pour conjurer le sort qui a emporté son géniteur.
Un héritage transmis aux nouvelles générations

Aujourd’hui, Cristiano Ronaldo s’efforce d’être le père qu’il aurait aimé avoir de manière constante. S’il déplore que son père n’ait pas vu ses succès, il se console en voyant son fils aîné, Cristiano Jr, marcher sur ses traces et comprendre l’importance du nom qu’il porte.
Dans sa maison de Madère ou de Riyad, les portraits de José Dinis Aveiro occupent une place d’honneur. Car si le père n’a rien vu des exploits de son fils depuis les tribunes, Cristiano, lui, continue de jouer chaque match comme s’il cherchait encore, dans le ciel, le regard approbateur de celui qui a tout déclenché.